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Suicide.ca
Le stress post-traumatique a fait partie des facteurs qui ont amené Josée à vivre une détresse profonde. Le soutien de professionnels de la santé, la médication et le fait de partager son expérience l'ont beaucoup aidé. Aujourd'hui, elle va mieux et n'a plus de symptômes. Découvrez son témoignange.
" Je me sentais coupable de souffrir de stress post-traumatique, de quelque chose qui ne se voit pas. J'ai commencé à aller mieux quand j'ai compris que la demande d'aide n'est pas un signe de faiblesse.
Josée en entreveue à Suicide.ca

Annie-Soleil Proteau rencontre des personnes qui pratiquent un métier semblable à celui des personnages de la série de Luc Dionne ou qui ont ététouchées de près par un des thèmes abordés. De gros noms et des personnes d'intérêt – pour reprendre le jargon policier – qui ont vécu l'expérience du terrain. Leurs récits sont en quelque sorte des compléments aux enquêtes menées au district 31, et nous démontrent que la réalité dépasse parfois la fiction.
Dès le début de la sixième saison de District 31, on assiste à la chute vertigineuse du policier Bruno Gagné. Son trouble de stress post-traumatique le mène à carburer aux médicaments et à l'alcool. Josée Querry, policière à la retraite de la GRC, se reconnaît dans ce scénario. Son travail l'a aussi amenée, un jour, à frapper un mur.

Au volant de son Honda CRV blanc, Josée Querry fonce vers le muret de ciment qui longe l’autoroute 640, à Boisbriand. Après 20 ans de service dans la Gendarmerie royale du Canada, cette cheffe d’équipe de l’unité antiterroriste de la GRC, surnommée «la machine», «supercop» ou «superwoman», a honte. Elle revient de la clinique. Sa médecin pense qu’elle fait une dépression majeure. Elle lui a prescrit des médicaments et signé un arrêt de travail de 60 jours.
Entrevue donnée au journaliste Marc Allard, Le Soleil de Québec
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